le jour et la nuit

2000 à 2003

Fantaisie spectaculaire de l’ordinaire pour sept anges, un homme et une femme.

 

Pascal et Agnès travaillent dans la même entreprise. Victimes de leur maladresse et de leurs mornes habitudes, ils désespèrent de s’avouer leur amour. Un beau jour, Pilgrin, mi-ange, mi-démon débarque incognito, investit le bureau disponible, et s’attelle à révéler les tempéraments cachés, les projets inavouables de ses deux collègues…

Spectacle onirique et énigmatique, Le Jour et la Nuit glisse avec sensibilité du récit classique à un patchwork surréaliste de formes inspirées par le cirque, la danse, la bande dessinée. Avec la virulence absurde et indéchiffrable du réel, sans souci de logique réaliste, les personnages dévoilent petits rêves et grands cauchemars. Les drames amoureux, les questionnements intimes y sont contés tendrement. Entre critique sociale et fable philosophique, sous des atours burlesques. Une forme aléatoire de poésie se profile au fur et à mesure des rencontres comme autant de combinaisons possibles des futurs d’une existence fragile et incongrue.

 

Du théâtre au cirque… 1h15

(98 représentations, 13800 spectateurs)

Équipe

Mise en scène : Emmanuel Audibert

Lumières : Maxime Legrand

Musique : Manu Cheau, Marjorie Delle Case, Sébastien Bouhana

Son : Patrick Naillet

Costumes : Caroline Rivière

Avec : Aurélia Labayle, Barthélémy Goutet, Brice Goldschmid, Emmanuel Audibert, Emmanuel Sembély, Stéphane Cortial, Julien Asselin, Philippe Audibert, Marjorie Delle Case et Sébastien Bouhana

 

Coproduction Regards et Mouvements.

Avec le soutien de l’ANPE Spectacle.


Tournée sous chapiteau :

 

Festival Vivacité off- Sotteville-lès-Rouen / Festival Grugliasco – Turin (Italie) / Festival du mime de Souillac (Lot) / Festival d’Aurillac off / Gentilly (94) / Ballancourt (91) / Viry-Chatillon (91) /Marcoussis (91) / Mostar – Bosnie Herzegovine (avec l’association Parada) / Chevilly Larue (94) / Bagnères de Bigorre / Domaine de Chamarande (91) / La-Ferté-Alais (91) / Evry – Université (91) / Marseille (13) / Paris ¬ 68 Quai de Scènes-Printemps multipistes / Ste-Geneviève-des-Bois (91) / Dourdan (91) – Fête des Guinguettes / Etampes (91) – Guinette en Fête / Moigny-sur-Ecole (91) / Théâtre de Cachan (94) / Méréville (91) / Maisse (91) / Théâtre de Marcoussis (91) / Moigny-sur-Ecole (91) / CC de Grigny ¬ la Grande Borne (91) / C.C. de Morsang-sur-Orge (91) / La Norville (91) / C.C de Grigny (91) ¬ la Grande Borne / Saulx-les-Chartreux (91) – Animakt – Festival Jeunes pousses / Vert-le-Petit (91) / Nada Théâtre, les Ulis (91) ...

 



Extraits d'articles de presse, d'ici et aussi de là...

 

| Théâtre de Rungis

Cette fantaisie spectaculaire est une invite à rêver notre quotidien autrement. Tout commence par un échange banal entre collègues de bureau (…). Quand un aréopage d’anges, plus ou moins bienveillants, peuple soudain l’espace, l’univers se déglingue.

La scène s’efface, laisse place à la piste de cirque et à ses acrobates, le récit linéaire quitte ses ornières pour une valse syncopée, les personnages tombent les bleus de travail, oripeaux du quotidien pour d’héroïques costumes de bande dessinée.

Juvénile, léger, rapide, vif, aérien et lumineux, Le Jour et la Nuit rompt magistralement avec les traditions des trois arts invoqués ici: le théâtre gestuel, la danse et le cirque.

 

| Nouvel Economiste – V. de Lapomarède, avril 2002

« L’univers de Jacques Tati n’est pas loin. (…) Les scènes coulent avec grâce et occupent tout l’espace jusque dans les airs. (…) »

 

| Ventilo – Marseille, décembre 2002

« Il s’agit de bien autre chose que de cirque. Un mélange maîtrisé de comédie, de musique, de lumière, une réflexion esthétique et poétique (…) sur les relations humaines et l’amour. »

 

| Arts de la piste – O. Cogoule, juillet 2002

« Les contrastes, l’humour et l’excès que les acteurs développent déclenchent rires et applaudissements. »

 

| République du Centre – Janie Fest, oct 2000

« La représentation a conquis le public, qui a apprécié le mélange imprévisible des arts du cirque, de la danse et de la comédie…»

 

| Télérama – Cathy Blisson, octobre 2002

« A la fin de la semaine, les petites « terreurs » étaient sur les gradins, des étoiles dans les yeux, à faire fuser des encouragements pour leurs formateurs d’un temps. Scotchés à une histoire envoûtante, énigmatique et onirique, à la lisière du cirque, du théâtre et de la danse contemporaine.»

 

 

Crédit photos : Guillaume Fromental, Manu A.